Une journée à nous...
Elles ont été mises en liberté, sauf les trois d'entre elles: Shadi Sadr (avocate), Jila Bani ya'ghoub et Mahboubeh Abaasgholi Zadeh. Elles sont toutes les trois enfermées dans une cellule.
Au seuil du 8 mars, tous ces évènements qui se suivent. Il n'y a qu'une raison: ils ont peur des femmes, des organisations qui se battent pour les droits de la femme. voilà tout!
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